La nouvelle version de notre écran de repérage et de suivi des véhicules s’enrichit de nouvelles fonctions :

-           Les camions disponibles pour être affectés immédiatement apparaissent en vert et clignotent, avec des icônes claires différenciant les types d’équipements (Flat Bed, Train, Drop deck, remorque fermée, etc.).

-           Les camions disponibles pour être affectés dans les huit (8) prochaines heures apparaissent  en vert (sans clignoter).

-           Les camions en retard sur l’heure de livraison ou de cueillette prévue apparaissent en rouge.

-           Les camions à l’heure selon les prévisions apparaissent en bleu.

-           Lorsque le curseur pointe sur un équipement, les caractéristiques de l’équipement et de son chargement apparaissent à l’écran avec origine, destination et heures de rendez-vous prévue et respect de l’horaire estimé.

-           Une touche permet d’afficher la route suivie par le camion dans les 48 dernières heures.

-           Une autre touche permet d’afficher toutes les commandes disponibles à ramasser dans la région où se trouve le camion, avec les caractéristiques de chacune.

-           Une fonction permet de voir quelle est la meilleure commande à attribuer au camion (selon les estimés faits en temps réel par le module d’intelligence artificielle du MILLOGICIEL DU CAMIONNAGE™.)

-           Le système vérifie et tient compte des temps de conduite des chauffeurs.

Les positions à un instant donné proviennent du système de satellite de CANCOM. Les cartes sur  lesquelles s’affichent les équipements proviennent de PC*MILER™ de ALK inc. MILLOGICIEL est revendeur agréé des produits de ALK dont  PC*MILER™, et MILLOGICIEL garantit le meilleur prix, y compris les prix lors des campagnes promotionnelles de ALK.

La numérisation des Bons de travail des garages. 

Le système de gestion et suivi des réparations de MILLO, génère automatiquement les bons de travail à faire dans le respect des lois sur l’entretien préventif. Il permet également d’entrer des descriptifs détaillés d’intervention à faire. Les mécaniciens qui ont un terminal au pied de chaque fosse ou pont, entrent au fur et à mesure dans l’ordinateur les correctifs faits. Les heures de main d’œuvre sont automatiquement inscrites sur les bons de travail par les fonctions horodateurs (« punch ») activées par chaque mécanicien en début de travail. Les pièces installées sorties de l’inventaire ou bien provenant de l’extérieur sont inscrites par le commis aux pièces. Ainsi un bon de travail clos comporte toutes les infos sur le travail effectué. Mais les usagers se sont aperçus avec le temps, que le détail de l’intervention et les diagnostics  posés étaient de plus en plus réduits à leur plus simple expression. C’était devenu « trop long et trop fastidieux » de tout inscrire dans l’ordinateur. Plusieurs solutions ont été envisagées pour régler ce problème et  conserver le maximum d’information sur ce qui s’est passé, dit et fait quand le véhicule était au garage. C’est ainsi que l’idée de redonner un crayon aux  mécaniciens et de numériser leurs écrits s’est révélée comme la plus efficace.

Les mécaniciens continuent de travailler avec le terminal informatique pour connaître le travail à faire, inscrire le type de travail fait selon la codification requise. Les temps de main d’œuvres sont toujours mis automatiquement par les fonctions horodateurs. Les pièces installées sont toujours inscrites. Mais le détail de l’intervention, les explications sont écrites sur le « bon papier ». Les papiers sont numérisés une fois le travail terminé.

La consultation d’un historique d’un bon de travail  à l’écran de l’ordinateur, nous montre à gauche les données informatiques de la réparation et à droite les différents documents numérisés disponibles. Pointer chaque document ouvre une miniature   révélant son contenu. Chaque document peut être visualisé en plein écran ou imprimé.

Pense bête.

Il y a bien des manières d’utiliser un système informatique dans les entreprises de  camionnage. Et dans la plupart, il n’est à mon sens,  utilisé que comme une  calculatrice  ou une machine à traitement de textes. Produire de beaux tableaux, de belles mises en page sont ses fonctions principales avec l’entrée de données.  La prise de commande et la répartition sont faites sur papier. Dans le meilleur des cas, des systèmes de communication et  de positionnement situent les véhicules, mais les ordres de déplacement sont retranscrit d’un système à l’autre. Le système informatique est un outil, comme un marteau. Un marteau sert à entrer des clous. Le système sert à entrer des données.

A l’ère de l’intégration des communications, en plein boum de la logistique intégrée, le système informatique pourrait être un puissant allié qui permettrait au répartiteur, par exemple,  d’offrir un excellent service à la clientèle en donnant le meilleur voyage à chaque chauffeur.

Le système informatique avertit l’usager des cotations échues, des rendez-vous à respecter, des entretiens à faire, etc. Mais c’est bien souvent là que le bât blesse. Le système n’avertit pas. Il faut demander au système de produire la liste d’avertissement, la liste des cotations échues, la liste des rendez-vous qu’on risque de  manquer, etc.  Pourquoi, si l’ordinateur est capable de produire la liste à la demande de l’usager, il n’est pas capable de la produire seul, sans que personne ne lui demande? Si   dans les tâches quotidiennes, le système automatiquement rappelait aux utilisateurs que telle ou telle  chose est à faire, il pourrait au moins  en faire seul  un bon bout,  puisque l’ordinateur  sait que c’est à faire, il devrait savoir comment.

De même lorsque le système indique qu’une erreur est survenue à telle ligne de programme, il devrait pouvoir la corriger. Puisqu’il sait de quelle erreur il s’agit , il sait pourquoi, et il devrait savoir comment y remédier.

Nous travaillons sur des programmes d’intelligence artificielle, sur des algorithmes complexes pour modéliser les situations de répartition, de choix optimums, d’aide à la décision. Nous avons mis au point des produits performants permettant d’économiser temps, argent et énergie et, de plus, de rentabiliser des chaînes logistiques.

Comment un quidam peut-il apprécier ce qu’un système peut faire à sa place, pour lui, quand il ne se sert même pas encore de son système actuel comme d’un pense bête?

Réel succès de la  soirée  des transporteurs.

Vendredi dernier, dans le cadre du 51^ième congrès annuel de l’association du camionnage du Québec, les fournisseurs partenaires de l ‘ACQ, offraient aux transporteurs une soirée « japonaise ». Bonne chère, boissons et musique étaient au rendez-vous dans la grande salle de réception du Hilton Québec et ont accommodé plus de 1000 personnes.